Ambition études de médecine

La bonne pratique en quelques lignes

Avant la réforme des études de médecine, le Conseil régional Centre-Val-de-Loire s’était associé à l’Agence Régionale de Santé, au Rectorat et à la Faculté de Médecine de Tours vers la démocratisation des études de santé. Le programme « Ambition PACES » visait à répondre aux appréhensions des lycéens face aux études de médecine.

Ce programme est parti du constat que l’écrasante majorité des profils se présentant en PACES étaient des lycéens titulaires d’un bac S mention bien ou très bien. Cette action visait à inciter les jeunes des lycées ruraux et vivant dans les quartiers prioritaires à prétendre à des études de médecine et ainsi lutter contre la désertification médicale en formant des jeunes du territoire pour qu’ils y exercent. Les élèves volontaires assistaient à 1h30 d’accompagnement personnalisé par semaine. Chaque lycéen était également coaché par un étudiant en troisième année de médecine faisant partie du programme.

A la suite de ce programme, en 2019, 65% de lycéens passés par «Ambition PACES» ont émis parmi leurs voeux d’orientation le choix de la PACES sur Parcoursup, selon l’ARS. Le programme n’a pas été renouvelé dans le cadre de la réforme de l’accès aux études de médecine. Toutefois, il semble particulièrement inspirant pour favoriser la démocratisation des différents domaines d’études supérieures.

FICHE TECHNIQUE

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ars-cvl-contact@ars.sante.fr info@regioncentre.fr

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2018
Tours
Indre-et-Loire
4
8
7
Avant la réforme des études de médecine, le Conseil régional Centre-Val-de-Loire s’était associé à l’Agence Régionale de Santé, au Rectorat et à la Faculté de Médecine de Tours vers la démocratisation des études de santé. Le programme « Ambition PACES » visait à répondre aux appréhensions des lycéens face aux études de médecine.
Ce programme est parti du constat que l’écrasante majorité des profils se présentant en PACES étaient des lycéens titulaires d’un bac S mention bien ou très bien. Cette action visait à inciter les jeunes des lycées ruraux et vivant dans les quartiers prioritaires à prétendre à des études de médecine et ainsi lutter contre la désertification médicale en formant des jeunes du territoire pour qu’ils y exercent. Les élèves volontaires assistaient à 1h30 d’accompagnement personnalisé par semaine. Chaque lycéen était également coaché par un étudiant en troisième année de médecine faisant partie du programme.
A la suite de ce programme, en 2019, 65% de lycéens passés par «Ambition PACES» ont émis parmi leurs voeux d’orientation le choix de la PACES sur Parcoursup, selon l’ARS. Le programme n’a pas été renouvelé dans le cadre de la réforme de l’accès aux études de médecine. Toutefois, il semble particulièrement inspirant pour favoriser la démocratisation des différents domaines d’études supérieures.
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