Le recho, un restaurant solidaire

La bonne pratique en quelques lignes

Créée en 2016 par une cheffe cuisinière, le Recho a progressivement murit un projet de solidarité : rapprocher les populations locales et réfugiées autour de repas grâce aux soutiens des acteurs locaux. Cela a notamment pour objectif de pérenniser l’intégration des populations réfugiées ! Le Grand Recho est né à Arras qui accueille la première édition en 2018.

Tous les matins pendant trois semaines, c’est l’effervescence dans ce restaurant solidaire et éphémère d’Arras. Les habitants de la commune et de ses alentours ainsi que les réfugiés du territoire doivent cuisiner 150 repas avec l’aide de chefs de l’association. Le soir venu, des dizaines d’arrageois se pressent pour déguster ces menus. Le prix n’est pas fixé en amont et l’argent récolté servira à financer d’autres actions du même type. Pour les plus fragiles, les personnes âgées isolées notamment, les personnes réfugiées distribuent un plateau repas.

Plusieurs centaines de repas sont servis tous les jours. L’événement, qui a réuni plus de 900 personnes, appelle à être renouvelé.

FICHE TECHNIQUE

Où ? Quand ?

Par qui ?

Contact

contact@lerecho.com

Comment Ithéa valorise cette BP

Partager cette bonne pratique

voir aussi :

Les marchés publics solidaires

Les clauses sociales sont un outil juridique permettant à des publics éloignés de l’emploi de travailler via l’exécution d’un contrat par une entreprise dans le cadre d’un marché public. Les

Lire la suite »
2018
Arras
Pas-de-Calais
Jérémie Croidieu / Le RECHO*
7
9
8
Créée en 2016 par une cheffe cuisinière, le Recho a progressivement murit un projet de solidarité : rapprocher les populations locales et réfugiées autour de repas grâce aux soutiens des acteurs locaux. Cela a notamment pour objectif de pérenniser l’intégration des populations réfugiées ! Le Grand Recho est né à Arras qui accueille la première édition en 2018.
Tous les matins pendant trois semaines, c’est l’effervescence dans ce restaurant solidaire et éphémère d’Arras. Les habitants de la commune et de ses alentours ainsi que les réfugiés du territoire doivent cuisiner 150 repas avec l’aide de chefs de l’association. Le soir venu, des dizaines d’arrageois se pressent pour déguster ces menus. Le prix n’est pas fixé en amont et l’argent récolté servira à financer d’autres actions du même type. Pour les plus fragiles, les personnes âgées isolées notamment, les personnes réfugiées distribuent un plateau repas.
Plusieurs centaines de repas sont servis tous les jours. L’événement, qui a réuni plus de 900 personnes, appelle à être renouvelé.
Aller au contenu principal